« J'ai étudié pendant tellement longtemps la virologie, dans tous les sens, que je suis absolument sûr qu'il n'existe aucune chose ressemblant au HIV. Et il est faciles pour moi d'être sûr à ce sujet parce que je me suis rendu compte que le groupe entier de virus auquel on dit appartenir le HIV, les rétrovirus -- comme d'autres virus que l’on prétend très dangereux --, en fait n'existent pas du tout ».
Ayant épluché toute la littérature existante sur ces « autres virus », il a énoncé qu’il n’existait aucun papier fournissant la preuve [de leur existence]. Néanmoins, il a encouragé les gens à ne pas le croire mais à demander aux instituts et aux autorités elles-mêmes. Ceci a réellement eu lieu, la plupart du temps à l’initiative de mères de famille. Les réponses étaient révélatrices. En septembre 2001, apparut le livre allemand « Impfen - Völkermord im dritten Jahrtausend ? » (« Vaccination - Génocide du troisième millénaire ? »), publié par Stefan Lanka et Karl Krafeld, dans lequel ils déclarent qu'il n’y a encore aucune preuve d’un quelconque virus (au sens médical).

C’est dans le contexte de ce mouvement [issu du livre allemand] (klein-klein-aktion ~ beaucoup de petites actions/avancées)] qui dispose du site Internet en Allemand « http://www.klein-klein-aktion.de » que j'ai pris et traduit tous les textes suivants :

«Pendant presque une année nous avions demandé aux autorités, aux politiciens et aux instituts médicaux la preuve scientifique de l'existence de ces virus qui dit-on causent la maladie et exigent donc une « immunisation ». Après presque un an nous n'ayons pas reçu la moindre réponse concrète qui fournisse la preuve de l'existence de ces « virus à vaccins ». La conclusion inévitable est que nos enfants sont encore vaccinés sur la base des normes scientifiques des 18 et 19ème siècles. Au 19ème siècle Robert Koch [*] avait exigé, dans la règle de ses postulat de preuves de virus généralement admises, de prouver l'infection ; à l’époque de Koch cette preuve ne pouvait se faire directement par visualisation des virus et leur caractérisation, parce que la technologie adéquate n'était pas disponible à ce moment-là. Les méthodes de médecine moderne ont profondément changé au cours des 60 dernières années, en particulier avec l'invention du microscope électronique. Et tous ces virus contre lesquels nous voulons nous immuniser n'ont encore jamais été réexaminés en utilisant cette technologie ? »
Plusieurs des images et explications que nous avons indiquées et qui prétendument montrent (caractérisant) des virus, nous les avons soumises au Dr. Lanka qui a donné ses commentaires sommaires :

Toutes ces photos ont en commun que leurs auteurs ne peuvent prétendre qu'elles représentent un virus, aussi longtemps qu'elles ne sont pas fournies avec les publications originales qui décrivent ce qui du virus a été isolé et comment. De telles publications originales ne sont citées nulle part.
En effet, dans la littérature scientifique entière il n'y a pas même une publication, où pour des « virus de médecins » l’accomplissement du premier postulat de Koch soit même revendiqué. Cela signifie, qu’il n’y a aucune preuve d’humains atteints avec certitude de maladies à virus – qui sont jugés responsables de ces maladies – ont été isolée. Néanmoins, c’est précisément ce que ces publications revendiquent publiquement. Maintenant, en ce qui concerne les photos soumises :

1. Plusieurs des photos sont colorées. Ceci est preuve suffisamment, elles sont du travail (d’art) des concepteurs, car les photos au microscope électronique apparaissent toujours en noir et blanc.

2. Les images des soi-disant virus : HIV, rougeole (Masern), et de variole (Pocken), montrent clairement, comme les descriptions d'images en partie déjà indiquées, que ce sont des cellules dans lesquelles les prétendus virus peuvent être trouvés. Ainsi, rien n'a été isolé. Les photos montrent en réalité des cellules et les particules endogènes typiques qu’elles contiennent. Ces structures sont bien connues, elles servent au transport intra- et intercellulaire. A la différence des virus de la même sorte qui ont toujours la même taille et la même forme (uniformité), elles diffèrent dans la taille et la forme (uniformité) et donc n’ont pas pu être isolées.

3. Dans les cas de : grippe, herpès, vaccine, poliomyélite, adénovirus et virus ébola, chaque photo montre seulement une particule simple ; personne n’affirme que ces particules ont été isolées, [que ce sont] des particules isolées à partir de tissus humains.
Ces particules sont des parties de cellules, particules mentionnées ci-dessus (en 2) ou des artefacts typiques signifiant: structures s’accumulant après fixage et séchage inadéquats des sondes, provenant de la préparation pour le microscope électronique.

4. Les virus « isolés » de la poliomyélite sont des particules artificielles, produites par l’aspiration d'une masse indifférente par un filtre très fin dans un vase clos. Sa structure (aucunes structures caractéristique) diffère clairement de celles des « virus » dans les cellules. Ici l'information est une caractérisation biochimique essentielle de ces virus « isolés », bien que l' « isolement » soit revendiqué, jamais elle n'a été publiée quelque part ni quiconque n’a même réclamé cette caractérisation.

En résumé, il doit être dit que ces photos sont une tentative de fraude commise par les chercheurs et les scientifiques médicaux impliqués, dans la mesure où ils affirment que ces structures sont des virus ou même des virus isolés. Dans quelle mesure les journalistes et les auteurs de manuels impliqués ont contribué à cette fraude notoire ou ont ils fait seulement de graves négligences, je ne sais pas. Toute personne entamant une recherche dans la littérature médicale, rencontrera vite des rapports et des références comme quoi le premier postulat de Koch ne peut être réalisé (c’est à dire : Großgebauer: Eine kurze Geschichte der Mikroben, 1997 [« Une petite histoire de microbes »] ; éditeur : Verlag für angewandte Wissenschaft).

Comment ces auteurs qui clament l'existence des virus sont arrivés à cette conclusion, cela, reste une énigme.

Ce pourrait-il que le terme « Contagium » = « Cadeau » (poison/toxine) = « virus » des 18 et 19ème siècles ait été appliqué au 20ème siècle aux composants des cellules, qui ont été appelés des « virus » puisque le microscope électronique a été présenté en 1931 ? Et afin de cacher ceci, les « virus causant la maladie » ont souvent été décrits mais jamais isolés ?

Donc ils ont été utilisés comme explication logique apparente des intoxications et des effets défavorables de la vaccination, c’est à dire comme Luhmann (1995) l’a écrit au sujet de la symptomatique de l'hépatite B, qui a été observée pour la première fois en 1985 suite aux vaccinations contre la variole, et en 1938 suite aux vaccinations contre la rougeole ? Les copies dans les manuels montrent seulement des structures dans des cellules et rien qui ressemble à de l'isolation de manière homogène. La caractérisation biochimique, qui est cruciale, manque complètement.

Robert Koch et ses collègues, le prof. Rush, le prof. Max von Pettenkofer, le prof. Virchow ont montré, pour l’exemple, grâce à des expériences et de l'observation, que les règles de Henle-Koch dans la transmission des bactéries, le supposé « vivum contagium », n’était pas en mesure de causer la même maladie. Ainsi Robert Koch a modifié (affaibli) le 3ème postulat de son professeur, l'anatomiste allemand Henle, sous la forme suivante : la génération d'un symptôme semblable dans des expériences sur des animaux serait suffisante pour prouver cette hypothèse de cause de la maladie, à savoir l'hypothèse des bactéries infectieuses. (Voir Großgebauer: Eine kurze Geschichte der Mikroben).

Ainsi, il ne faut pas s’étonner que le prof. Alfred Fischer a écrit dans son livre « Vorlesungen über Bakterien » (« [Académiques] Conférences sur les bactéries ») de 1897 ( !) :
« Comme il est vrai pour n'importe quelle maladie infectieuse - le fait qu'elle est non seulement produite par l'addition des bactéries mais également par une quelconque chose inconnu des prédispositions individuelles, cela va de soi ».
Stefan Lanka, décembre 2001.

Source.
Un biologiste prouve que la rougeole n'est pas un virus et remporte une affaire devant la Cour suprême contre un médecin.